Recherche
Espace membres
Rendez-vous
- Trouver sa place ... et vaincre le sentiment d'imposture
- Traumatismes, résurgences traumatiques et transmission transgénérationnelle des traumatismes
- Fragilité et reconquête des territoires incertains
- La métamorphose une vidéo de Anne Condomine à l'occasion de la sortie de Quand l'enfant nous dérange et nous éclaire
Source et ressources
- Abandon et sentiment d’abandon
- Quand l'hyperémotivité entre en résonance avec l'entourage
- Entre mère et fils ... Comprendre ce lien si particulier et le réinventer à chaque étape de la vie
- Y a-t-il de bonnes raisons de couper les ponts avec ses parents?
A lire, à voir, à entendre
- La créativité au quotidien
- Frères, Sœurs, quand les rapports se compliquent à l'âge adulte ...
- Le sentiment d'imposture, l'identifier, s'en libérer
- Vivre sans culpabiliser ...
Rejoignez-nous sur Facebook
Le geste de Lacan
Le geste de Lacan
Chroniques des années 1970
de
Sonia Schoonejans
Éditions QUE
Mai 2008
Un vrai livre de psychanalyse
et en même temps
de la véritable littérature
Un livre qui en ravira certains, en inquiétera d'autres. Amusant, perturbant, élégant. Il restitue magnifiquement bien le climat d'une époque - celle des années 70 où le sida n'existait pas - tout en ouvrant les portes sur l'analyse d'alors façon Lacan.
En nous le donnant à lire son auteure nous communique un intense sentiment d'existence, alors qu'elle se fait l'écho d'une troublante errance. Légère, finalement, elle nous touche et nous surprend, en abordant les zones secrètes de l'intime sans jamais pour autant se révéler impudique.
Comment affirmer sa légitimité? Comment se faire accepter tout en osant (se) refuser? Comment dire sans se laisser périr? Comment vivre? Comment se sentir exister?
Virginie ou Lydia, la narratrice, loin de tout jugement, vit, dit, communique, affirme, essaie, travaille, avance... Ainsi va l'existence d'une jeune femme, sans cesse menacée de déséquilibre et qui résiste pour ne pas se laisser déboussoler.
Un livre bref, clair, lumineux. Étrange car il est à la fois plaisant et dérangeant. Très dense, il se lit facilement... Comme une heureuse nouvelle ou l'arabesque qu'une danseuse accomplirait avec une aisance telle qu'elle nous donnerait l'impression que nous pourrions en faire autant. En un seul geste, en un rien de temps!
Témoignage précieux de la psychanalyse d'hier pratiquée par Lacan, il nous procure le véritable plaisir d'aborder cette psychanalyse, légèrement, comme un roman! Un vraie moment de vie.
Nous vous laissons découvrir quel est le geste Lacan que le titre mentionne !
En nous le donnant à lire son auteure nous communique un intense sentiment d'existence, alors qu'elle se fait l'écho d'une troublante errance. Légère, finalement, elle nous touche et nous surprend, en abordant les zones secrètes de l'intime sans jamais pour autant se révéler impudique.
Comment affirmer sa légitimité? Comment se faire accepter tout en osant (se) refuser? Comment dire sans se laisser périr? Comment vivre? Comment se sentir exister?
Virginie ou Lydia, la narratrice, loin de tout jugement, vit, dit, communique, affirme, essaie, travaille, avance... Ainsi va l'existence d'une jeune femme, sans cesse menacée de déséquilibre et qui résiste pour ne pas se laisser déboussoler.
Un livre bref, clair, lumineux. Étrange car il est à la fois plaisant et dérangeant. Très dense, il se lit facilement... Comme une heureuse nouvelle ou l'arabesque qu'une danseuse accomplirait avec une aisance telle qu'elle nous donnerait l'impression que nous pourrions en faire autant. En un seul geste, en un rien de temps!
Témoignage précieux de la psychanalyse d'hier pratiquée par Lacan, il nous procure le véritable plaisir d'aborder cette psychanalyse, légèrement, comme un roman! Un vraie moment de vie.
Nous vous laissons découvrir quel est le geste Lacan que le titre mentionne !
Sonia Schoonejans, spécialiste de la danse contemporaine, nous plonge dans le Paris des artistes et des intellectuels des années 1970. Lacan y apparaît sous une figure surprenante... et pose un geste ébouriffant !
Elle s'appelle Lydia ou Virginie, selon le passé auquel elle se rattache. Voilà une première bonne raison de se faire analyser. Elle partage la vie d'un collaborateur de Foucault et fréquente Wolinski, et voilà pourquoi son analyste est Lacan.
A-t-elle besoin d'une analyse, et peut-elle se permettre le prix exigé rue de Lille pour ses séances presque quotidiennes ? Il semble plutôt que sa démarche soit une dernière tentative pour répondre à la demande de son compagnon. Et comme les histoires d'amour finissent mal, dans ce cadre, l'analyse prend elle aussi des tournures de scène de ménage.
Parution Belgique: 08/05/2008
Parution France: 22/05/2008
Chez le même éditeur:
Devenir psychanalyste et le rester de Serge André
et aussi
Qu'est -ce que la pédophilie de Serge André
L'épreuve d'Antonin Artaud et l'expérience de la psychanalyse
28/06/2008
Commentaires
Vous devez être connecté pour déposer un commentaire
Login
Register